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DE HENRI 1V. ‘ ‘ 501 _ contraire de ce que l’on'vous a mande, si ainsy est. Ceste—cy n’estant à aultre fin, je prie Dieu, mon Cousin, qu’ilfvous ayt en sa garde. Escript à Sedan], ce xv“‘° octobre. b- HENRY. Le capitaine Tessyé arriva arsoir. Je vous diray tout. _ . ~ . 1591..—— 20 OCTOBBE. — 1***. _ - i Crig. — B. B. Fonds Béthune, 9109, Fol ; 1 2. i Cop. — Suppl. Fr. Ms. loO9 3. - i A MON COUSIN LE DUC DE NIVERNOIS, — min ne rimvcc. _ i Mon Cousin, Le s' de la Guiche vient de nfadvertir qu’il nepeut faire marcher Fartillerie, d’autant que i’ail’ut du canon qui fut rompu, dexïant vostre chasteau d’Aumont nlest encores prest ; occasion que je _, vous prie, mon Cousin, de luy faire deslivrer incontinent l’af}`ut d’un « des canons que vous aves, pour gaigner temps, et il fera payer la 'depense de remontaige de vostre dict canon 2 ce que m’aSseurant que iierés, je prieray Dieu, mon Cousin, qulil vous ayt en sa saincte et digne garde. Du camp de Sedan, le xx° jour d’octol1re 159 1. ' i HENRY. ‘ _ r 1>o rnan. 1_ — ‘ lj Le Pioi était arrivé dès le 1 1 dans cette qu’il garde sur ce point dans la lettre au ville, où il fit célébrer, le jour même de la duc de Nevers peut être regardé comme ‘ date de cette lettre, le mariage du vicomte un ménagement ; car ce prince avait. es- de Turenne avec la duchesse de Bouillon, pére un si riche parti pour le duc de lle- princcsse souveraine de Sedan. Le silence thélois, son Bis.