- ' . 1591. — 5 ocroems. — II“‘°. Orig. ¥- B. B. Fonds Béthune, Ms. 9104, fol. 96. Cop. — Suppl. fr. MS. [009-3. . A Imprimé. — Mémoires de Nevers, t. II, p. 276. _ A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. MOD COUSII1, JG VOUS GIIVOYO dBS`•l€l.l}I’CS €StOlOI1l. POUP VOUS A en 111011 ac uet. dieu a ouvert une} 0l1I` ce ue lion me mande P ‘l Y P (I 1 que je y trouverois des nouvelles de la deiiense du duc de Savoye. Je vous prie ne le trouver point maulvais, et, s’il y a en chiflre quelque. chose digne de me le faire sçavoir, _ me le mander, en- semble à quoy vous estes de vostre entreprise du chasteau de Hault- mont. Et en attendant, je prye Dieu qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte garde. Escript à Attigny, le v° jour d’octobre 1591. _ HENRY. i ' nuziâ; ‘J'espere demain vous aller voyr en vostre maison d'Aulmont 2. ‘ Posbscriptum de la main du Roi. reux que le capitaine, le lieutenantet lien- ’ Ce projet s'ell’ectua, etl'ar1 ivéedu Roi seigne en furent tuez ; ce qui bailla une devant Aumont, ou Hautmont, eut le suc- telle espouvante aux assiegez, qu’ils mons- cès que raconte ainsi Cayet : a Le sixiesme trerent un chapeau sur la muraille, pour d’octobre] il alla our voir la batterie et si nal u'ils vouloient arlementer. La P S (I P -l’assau|: que monsieur de Nevers vouloit composition fut qu’ils renclroientia place, faire donner à.Haumont, qu’ilte11oit tous- et que ceulx qui vouldroient prendre le jours assiégé. Apres que Yon eust tiré quel- party du Roy auroient leurs armes ; et les ques coups de canon, Sa Majesté voulut aultres qui ne vouldroient le prendre s’en luy-mesme pointer le canon, et [it donner iroient avec un baston. » (Chronolog, nov,. au mitan du portail : ce coup fut si heu- fol. [481, recto et verso.)
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