DE HENRI IV., (LS? ° I de d’()mont3. Si cela est et qu’ayés—besoing ~de’n1es forces, jeune rendrayau dit d’©mont incontinent. J e vous 'prie, donnés rnoyenià ce .Porteur d’aller seurement trouver mon cousin le vicomte de Turenne. i
- Le s'_Pinart s’estoit hyersauvé, voulant aller ià Vervins, mais Dieu
voulut permettre quÉil fut reprins dansle bois. Par là il fait cognoistre qu’ilasent :sa conscienceehargée de la faulteider laquelle il est accusé ". Liesperance que jîay de vous veoir bien tost sera cause que ne vous feray pluslongue lettre, priant Dieuce pendant quïil vous ayt, mon Cousin, en.sa sainete garde. Escript à la Capelle, le XV1]°jol1I`¥(ilè"SBP— ternbre 1591. i _ . HENRY. . i A vorma. . », l59l.— 18 SEPTEMBRE., Orig. — B. B. Fonds Béthune,' Ms. Qlûll, fol. ga. . Cop. --‘ B. B. Suppl. fr. Ms. l009 3.' _ - Imprîmé.—.Ménwires dè`;Ncvcrs, t. II, p., 2 y1. . A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS ET BHETELOIS, — = mm ne FRANCE, eouvmmsun nr 11o1v_1.m¤crmwvr o, ENE1m1. EN c11AMv, u ;um aw mwa. . Mon Cousin, Je suis presenteinent arrivé en ceste ville de Mau- . bert ayant faictune grand traitte depuis 'la Capelle jusques en ce ` lieu, qui est cause que je seray contraint d’y _S€jOUI*l]€1‘ demain. Ce — pendantrmes trouppes ne laisseront, de 'siadvaneer, et ine relndray aprés demain avec icelles à deux lieues du chasteau d’Aumont.".Ie vouldroys que ma presence peust apporter advancement à la prinse du dict cbasteau. Je suis venu en-trois journées de Chaulny en ce lieu, qui est la plus grande diligenc’e que j’aye peu faire. Vous aurés entendu des nouvelles demon arméeestrangere par Launay, lequel i ° Ou plutôt Hautmont, ou Aurnont,, ‘_On Faccusait d’avoir livré Château- près de.Sedan.Il en sera question ci ap1 ès Thierry, dont il était gouverneur, et qu’il ‘“'€°`*P1U$‘d€dé'¤ll9Ã Z ' . avait laisséprendre audnc de Mayenne.
