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`. 'DU ROI DE NAVARRE. Z105 ` . [1588.-veus LA M1—nÉc1aivi1s1.E.]-Il“‘°. T i Orig. autographe. — B. B. Fonds des Cinq-cents de Colbert, Ms. 402. a A MONS" DE SEGUB. Mons' de Segur, J’ay esté fort fasché d’entendre vostre maladie. O Je crois que c’est ce qui a empesché que nous n’ayons eude vos - nouvelles il a si lon tems. Je vous r e m’en mander. Vous aves - Y g P J p entendu l’estat de nos affaires par les s" de Monglas et de Laborde. Vous sçaurez ce ui est de uis avenu ar le s" de Beaucbam, resent . q P. P P. porteur, et par ses instructions. J'escr1s aussy plus amplement à mons' de Guitry, _estant en doute si vous serés auprés de mon cousin mons' le duc Casimir, et ne voulant beaucoup charger ce porteur. ` Je vous prye vous employer à advancer le secours que nous attendons _. de si long temps, car il est tres necessaire : et au reste vous assurer toujours de m_a bonne volonté, et croire ce dict porteur de ce qu’il vous dira, comme vous voudries faire _ Vostre tres aiI’ectionné` maistre et parfaict amy, ., " HENRY. i [l588.]— 16 nÉcEMsnE.—~I'°. _ Cop. - - B. B. Fonds Béthune, Ms. 9112, fol. 59. , Cop. — B. R. Suppl. frf Ms. 1000-3. • UÀ MON COUSIN LE COMTE DE LA ROCHEFOUCAUL']`. Mon Cousin, Je vous advertis que Yassemblée s’eu va parachevée aprés demain. J’ai faict faire un pont pour passer sur le Bro, afin de pouvoir aller voiries ennemis. Ils n'ont rien attaqué depuis Mon- taigu ; on dit que leur armée est rompue. Si cela est, nous n’irons point à eux ; et, en ce cas, je vous prye de me venir trouver en ce lieu, ou je seray trez ayse de vous voir. Cependant je vous prieray de vous tenir prest, avec le plus de vos amys que vouspourrés, pour