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LETTRES MISSIVES

i_ vous. Vous en pouvez juger une partie par les choses qui sont pas- sées à mon tres grand regret et ennuy. Je suis marry des prison- niers........... escris au ouverneur e ainc eau e on e- J’ g d S t J d F t nay ‘...... Si vous entendez nouvelles particulieres des brouilleries du monde de delà, je vous _supplye'm'en faire part. I Il seroit bien aveugle qui ne verroit maintenant clair aux desseings des ennemys de nostre maison. Pour moy, je n’y trouve poinct de re- ligion. A Dieu, ma Tante, tenez-moy en vos bonnes graces, comme celuy qui les honore fort, et qui est' Vostre plus alïectionné nepveu, à vous obeir, HENRY. A ,',, 1587.- 1°' Avnu..—I'°l ` Cop. — Biblioth. <leTours, ancien manuscrit des Carmes, côté M, n° 50, Lettres historiques, p. M8. Communiqué par M. le préfet. _ _ [AU ROY, MON ASOUVERAIN SEIGNEUR.], W Monseigneur, A ant esté advert e uel ue different s'estoit meu entre mes Y Y au ll Cl ‘ cousins, le prince de Conty et le cardinal de Vendosme ‘, dont leurs _ amys craignent qu’il en naisse quelque haine qui rompe l’union qui doibt estre entre personnes si proches, pour prevenir cela, et aussy parce que je m'asseure qu’ils né me refuseront poinct pour arbitre, j’ay advisé de depescher exprez le s*, de la Roque par devers eux, pour leur faire entendrece qui est de mon debvoir, y estant convié par le sang, qui nfoblige d’avoir soing de ceulx de ma maison, et pour empescher que les choses n’en passent plus avant, ainsy que _ ’ Ces lacunes se trouvent dans le manuscrit de Tours, où des espaces blancs ont été laissés là par le copiste. _ ' Voyez les lettres suivantes. i