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~ DU. BOL DE NAVARRE. 4 227 que nous ; c’est pour ce que conduict mons' d'Aubeterre. J’eusse esté bien aise que nous fussions rencontrez afin ide parler ensemble 3. U 1586. j — 2 5 Junv. — I1“‘°. ' Orig. autographe. — Biblioth. de 1`Arsena1, Mss. Histoire, n° 179, t. I". ' Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 2289-2, et Ms. 1009-4. Imprimé. — Mercure de France, 1765, janvier, vol. II, p. Ag. — L'Esprit de Henri IV. Paris, 1770, I in-8°, p. mg. — Vie militaire et privée de HenriiI1C Paris, an XII, in-8°, p. 60.- Lettres de _ Henri, IV publiées par N. L. P. Paris, 181l ;, in-1 2, p. 28. — Journal militaire de Henri IV, par M. le comte DE Vanom. Paris, 1821, in—8°, p. 31/;,. [A MADAME LA COMTESSE DE UGRAMONT] Je m’estois acheminé dans ce lieu de Montguyon, pensant faire quelque bel eH’ect sur nos ennemys. Il a faict un temps si enragé,. qu’il arompu tous nos desseins. Je mien retourne annuict coucher à Barbesieux et demain à Pons. Que vous me faites plaisir d’aller à Paul ha! ma chere maistresse, combienachepterois-je m’y pouvoir treuverl Un tel contentement est hors de prix..1 e, vous envoyesles I copies des lettres que la Pxoyne d’Angleterre escrivit au Roy et Royne sa mere, sur la paix dc la Ligue. Vous y verrés un brave langage et _ un_plaisant.style 1. Mon cœur, je ne la puis 1`aireplus longue, parce- que je vois monter àcheval. Bonjour, ma vie, je te baise un million de fois les mains. Ce xxv° juin, de Montguyon. ‘ Cette lettre, où la suscription manque, semble avoir été écrite au vicomte de Tu— i renne. ' .Voici la lettre à Henri II[,.telle qu’elle n’avoir en ce monde creature de quy plus nous est envoyée _de’Londres par M. l’am- seurement en pourriés faire compte sans bassadeur de France : hazard. Mon Dieu! est—il possible qu'un ., «, Si vous sentistes,, mon bien aymé_frere—, grand Roy se somette sans _raison, et contre le doleurlennuy etla fascherie qu’en mon honeur, en "requirant ; paix de subjects ame je sens, pour le perilleuxestat en quy traîtres et rebelles, et de ne leur faire du je voy que precipjtemment_vous vous tais- commencernent trancher tente comodité ses conduire, je 1n'asseure que croiriésde _de sjagrandir, ou au pis _aller,;à cest', heur° j ag.