Page:Hannon - Au clair de la dune, 1909.djvu/113

Cette page a été validée par deux contributeurs.
93
DE LA DUNE


Les cabines sont sans mystère :
Plus ne sonne l’heure du bain.
La plage se fait solitaire
Et le crabe est son Chérubin !

Fin de saison !… Rentrent at home
Les villégiatureurs frileux
Qui s’enfuient, ô soleil fantôme,
Soufflant dans leurs pauvres doigts bleus…

Accompagnons-les, ma Musette,
Quittons le flot, vraiment amer,
Après la suprême risette
À ton héroïne, la Mer !