Luzzi. — Paris, rue Mazarine, en 1788. Luthier qui faisait toute sorte d’instruments.
Maire (Étienne). — Paris. Luthier contemporain. Né à Barcelone en 1807.
Fils et élève d’Étienne Maire-Breton [1], auquel il succéda à Barcelone en 1895. C’est après une brillante audition de ses instruments au Conservatoire de musique, à Madrid, qu’il vint se fixer en 1898, à Paris. En Espagne, il marquait ses instruments au feu. À Paris, c’est avec l’étiquette suivante :
Maline. — Mirecourt, vers 1840. Lutherie ordinaire marquée au feu : « Maline à Paris ». Il travailla beaucoup. Ses fils ont aussi produit des violons du même genre.
Mareschal. — Paris, fin xviie siècle. Luthier et facteur de pianos, qui habitait rue Neuve-Le-Pelletier.
Martin (Guillaume). — Paris. Neveu de Lejeune, auquel il succéda en 1822. La maison passa ensuite à son fils Charles ; puis, en 1890, à son petit-fils Alexandre. Depuis longtemps déjà, ces messieurs ne s’occupent que de ventes et de réparations.
Martin (Nicolas). — Vichy, 1872-1897. Il a fait des réparations.
Masgontier (Jacob). — Étiquette manuscrite relevée dans un violon ordinaire :
Jacobus Masgontier
Gallicanus reædificatif
César Augustus 1806.
Masson (Nicolas et Antoine). — Paris. Luthiers contem-
- ↑ Voir Les luthiers espagnols