Page:Grave - Les Aventures de Nono.djvu/264

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

faisaient rien. Il y en avait qui prenaient des physionomies de paons, de dindons ; ils garnissaient la cour de Monnaïus.

Ceux qu’il avait vu avec l’apparence de pourceaux étaient ceux qui, ne s’adonnant à aucune besogne, se contentaient de boire, manger, dormir et se promener.

Il y avait bien d’autres variétés, mais leur nombre était si grand qu’il était impossible à Nono de les retenir toutes ; celles-là étaient les principales.