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Liberta prit un livre sur la table devant elle et le leur donna.

— Puisque vous voulez absolument des histoires, dit-elle, voici de quoi choisir. Vous y trouverez celle de Gutenberg et de l’imprimerie. Vous pouvez vous mettre dans un coin, ou aller au jardin, comme il vous plaira, et lire tout ce que vous voudrez. »

Les choses ainsi arrangées, on put commencer, le silence s’était rétabli.

On se mit donc à l’étude des problèmes. Liberta commença par en dicter quelques-uns qu’un des élèves venait résoudre au tableau. Puis ce fut le tour aux élèves d’en dicter, que leurs camarades devaient résoudre.

Nono remarqua un des élèves qui voulait toujours parler avant son tour, haussait les épaules lorsqu’un de ceux interrogé semblait embarrassé, et qui voulait toujours trouver des solutions meilleures.

— Jacquot, — c’était le nom de l’élève — Jacquot, fit Liberta, à votre tour, dictez un problème.