nos prisons d’Étrangers, qu’ils aillent vomir dans leurs foyers le venin dont ils avoient voulu nous empoisonner. Enfin, la force publique étant en défense, elle doit extirper cette armée de scélérats, divisés dans la France, qui n’attendent, qui ne suscitent le désordre, parmi les Citoyens, que pour les frapper, s’emparer des propriétés et se réunir. Paris, Paris, sur-tout, est assiégé d’un nombre effroyable de ces exécrables scélérats ; les différens partis, aveugles dans leurs ambitions, se servent de pareilles agens, sans prévoir quelles en peuvent être les suites malheureuses pour eux-mêmes.
PROBLÈME À RÉSOUDRE
SUR TROIS POINTS.
SERONS-NOUS Esclaves, Républicains ou
Royalistes constitutionnels ?
Il ne faut pas se le dissimuler, ces trois
Partis existent. Quel est le plus raisonnable et
le plus fort, dira-t-on ? Moi, je répondrai, c’est
le plus constitutionnel ; mais il faut résoudre
cette vérité. En force publique, qui doit
dans ces momens périlleux se trouver dans le