Page:Goncourt - La Fille Élisa, Charpentier, 1877.djvu/288

Cette page n’a pas encore été corrigée

apparaissaient avec leur appesantissement bestial, leurs figures hagardes, la presse de leurs besoins physiques. Arrivées en bas, les femelles se satisfaisaient sans qu’il leur restât rien des pudeurs de la femme.