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l’art japonais.

À ces deux dessins encadrés, il faut joindre trois feuilles détachées, trois merveilles provenant de la vente de l’atelier Kiôsaï.

Skôki jouant de la flûte. Une tapageuse encre de Chine, avec coloration en rouge de la tête et des mains.

H. 40. — L. 28.

Deux canards mandarins, dans le sillage que leur nage met dans l’eau. Aquarelle où la blancheur des deux canards se détache, de la façon la plus harmonieuse, sur le bleuâtre de l’eau.

H. 40. — L. 39.

Un aveugle appuyé sur un bâton, son chapeau tombé sur le dos, traversant un gué. L’encre de Chine la plus largement traitée, et où est une tête du dessin le plus savant.

H. 38. — L. 28.

Dans la collection Vever.

Un grand dessin librement jeté dans un trait représentant le viol d’une femme, prise entre les jambes d’un homme, le haut du corps retombé de côté, d’une main repoussant la main