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hokousaï.

Quatre femmes couchées à terre, dans des allongements d’une élégance adorable.

Une étude à l’aquarelle d’une tige de soleil.

Un cerf couché.

Une femme, avec, au bout du bras levé, une raquette.

Une promenade de femmes et d’enfants préparée pour la gravure, qui n’a pas la sécheresse habituelle de ces sortes de dessins.

Une femme qui fait sa toilette devant un miroir, où se voit sa figure, et dont le bras droit tient derrière elle, un autre miroir, où se reflète le derrière de sa coiffure.

Dans la collection Gonse.

L’entrée de la Soumida. Une double rangée de rochers, émergeant de l’écume des flots. Un des plus beaux et des plus importants paysages à l’aquarelle d’Hokousaï.

H. 30. — L. 130.

Une étude de tête coupée de supplicié, la bouche et les yeux entr’ouverts, avec un filet de sang, qui, semblable à un rameau de corail, se répand de l’oreille sur le pâle visage.

Signé : Hokousaï I-itsou.