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hokousaï.


3. Champs de thé de Katakoura (de la province de Sourouga).
Un homme ferrant un cheval.


4. Foujimi-no-hara (de la province d’Owari).
Un Japonais agenouillé dans le cercle d’une immense cuve qu’il assemble, et où l’on voit dans le fond le Fouzi-yama.


5. Un matin de neige à Ko-ishikawa (à Yédo).
Femme, indiquant d’un kiosque, le Fouzi-yama.


6. Todo-no-Oura.
Des tori-i dans l’eau, au bas desquels sont des pêcheurs de coquillages.


7. L’autre côté du Fouji, vu de Minobougawa (nom de rivière).
Chevaux au bord de la rivière.


8. Beau temps par un vent du Sud (daté 1825).
Le Fouzi-yama, en la coloration rouge d’une brique, avec quelques lézardes de neige à l’extrémité de son pic, et se détachant sur un ciel d’un bleu intense, tout rayé de nuages blancs stratifiés, qui donnent au ciel le caractère d’une plage, dont la mer vient de se retirer. Une impression de la plus grande originalité, et où l’artiste japonais a