Bakin, il entra dans la pensée du peintre de publier des volumes de dessins, se passant du texte d’un littérateur, et d’une vente égale à un volume, où avait associé à son nom, le nom de Bakin.
C’est dans cette disposition d’esprit, qu’à quelques années de là, prit naissance la Mangwa, dans des circonstances jusqu’ici tout à fait inconnues, et que nous révèle la préface de Hanshû, en tête du premier volume, et que j’ai eu l’idée de faire traduire par Hayashi : « Hokousaï, le peintre d’un talent si extraordinaire, dit Hanshû, après avoir voyagé dans l’Ouest, s’est arrêté dans notre ville (à Nagoya), et là, il a fait connaissance avec notre ami Bokousén, s’est amusé à s’entretenir du dessin avec lui, et dans ces conversations, a dessiné plus de trois cents compositions. Or, nous avons voulu que ces leçons profitassent à tous ceux qui apprennent le dessin, et il a été décidé d’imprimer ces dessins en un volume, et quand nous avons demandé à Hokousaï, quel titre il fallait donner au volume il a dit tout simplement : Mangwa, que nous avons couronné de son nom,
dont la traduction littérale est Man : au gré de