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il alla s’engloutir dans le brouillard de Londres.

En 1871, il écrivait, parlant de ses regrets, de sa douleur d’expatrié : « Si cela dure, je mourrai. »

Cela a duré huit ans pour lui.

Et, l’année dernière, on l’a enterré dans un coin du sol anglais. Par un beau temps, les journaux l’ont dit. Pour un jour, le ciel de Londres était bleu. Il faisait du soleil comme en France.