Page:Gill - Vingt années de Paris, 1883.djvu/209

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

combe, ses jarrets fléchissent : il s’abat sur les genoux.

Et la pauvre femme enveloppe de ses bras chétifs ce fils de son frère, qui vient de la faire tant souffrir. Et ils pleurent longtemps ensemble…

Et le petit Louis se relève honnête homme pour toujours, — oh ! oui, pour toujours !