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Cilicie et l’île de Chypre, furent les seules qui demeurassent à l’Empire romain d’une manière utile et permanente[1].



  1. Voyez les Annales d’Elmacin, Abulpharage et Abulféda, depuis A. H. 351, jusqu’à A. H. 361, et les règnes de Nicéphore Phocas et de Jean Zimiscès, dans les Chroniques de Zonare (t. II, l. XVI, p. 199 ; l. XVII, p. 215), et Cedrenus (Compend., p. 649-684). Les omissions qu’on trouve en grand nombre dans ces auteurs, sont suppléées, en partie, par l’histoire manuscrite de Léon le diacre, que Pagi a obtenue des Bénédictins, et qu’il a insérée presque en entier dans une version latine (Critica, t. III ; p. 873 ; t. IV, p. 37).