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La pharmacie a-t-elle été reconstituée au moins en partie ?

Je n’ai pu le savoir, mais en tous cas on peut admirer à présent dans la petite boutique le gracieux et original comptoir qui fit les délices de M. Homais.



Un article signé A. M. Gossez sur Ry et Bovary, a paru l’an dernier dans le Mercure de France. M. Gossez, bien qu’il semble s’insurger contre « les faiseurs de commentaires » et croie devoir nous rappeler que Flaubert « ne copie pas des portraits mais engendre des types