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Un quart d’heure plus tard le rempart était franchi. Dès les premiers pas, Salbris se trouva face au colonel Sauzède, qui, en le reconnaissant, lui ouvrit les bras.

Salbris se trouva face au colonel, qui, en le reconnaissant, lui ouvrit les bras.

« Mon fils ! » dit-il.

Ce mot payait Roland.

Dans l’étreinte paternelle, il murmura :

« Jeanne !

— Viens ! reprit le colonel, que je te mène a ta fiancée. »