Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/96

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Et ces renseignements furent accompagnés de toutes les bénédictions à la bonne dame, et de toutes les salutations.

Le cœur d’Hermine battait bien fort, et elle se sentait bien émue lorsqu’elle monta les trois petites marches de pierre et qu’elle s’arrêta devant la porte blanche qui fermait la maison comme la pierre d’un tombeau.

Elle frappa.