Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/88

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

frère à Jean, et si ma mémoire ne me fait point défaut, Jean était du village de La Roche, o l’est tout ce que je puis vous dire, — répondit l’interrogée.

Hermine remercia la Guillerette et retourna chez elle. Toute la nuit, les yeux fermés, ne dormant pas, elle songea à ce village de La Roche où était né Jean, où il avait joué, où il avait été à l’école, où il y avait peut-être encore des gens qui l’avaient connu, des parents même ! Qui sait ?…