Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/64

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

saisons. Elle n’était pas devenue insensible, pourtant, et plus tard, on trouva, dans la petite boîte où elle gardait ses cahiers d’école et ses lettres d’amies, quelques pages où elle avait écrit, un peu comme des compositions de style, ses sensations devant le déploiement merveilleux de l’existence.