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IV


On la mit alors en classe dans la petite école du village. Faisant de rapides progrès, toujours la première, elle était une petite fille sage et appliquée, pétrie de bonnes dispositions.

Lorsqu’elle eut dix ans, et qu’elle fut définitivement jugée bien portante, sa mère la retira de l’école et la mit en pension à la ville voisine. Elle apprit le piano, le chant et la danse.

— Ce sera une distraction pour elle plus