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XXV


Après tant de désastres, Mme Gilquin n’avait plus accepté la vie que pour attendre la mort. Étrangère dans sa maison même, trop faible pour résister au violent personnage qu’elle avait, comme Hermine, accepté pour la sécurité et la durée des biens amassés par le père Gilquin, elle ne voyait pas le moyen de détruire le mal qu’elle avait préparé, sans le savoir, de ses mains maternelles.

Le violent Jarry était aussi un madré : il s’était fait reconnaître un avoir au moment