Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/114

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

arrivée à la dernière maison, vous virerez à vot’gauche… Y a un mur… C’est là !

Hermine remercia encore et partit cette fois, d’un pas automatique, sans retourner la tête vers la masure inhospitalière.