Page:Gavarni - Grandville - Le Diable à Paris, tome 1.djvu/11

Cette page a été validée par deux contributeurs.

chemin à travers la foule des corps célestes qui parsèment l’infini, laissa bientôt derrière lui les milliers d’univers que la main de Dieu


seul a comptés, et arriva dans ces lieux habités par le vide où la fantaisie des poëtes a placé les enfers.