Page:Galmot - Un mort vivait parmi nous, 1922.djvu/209

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

délire. Et moi-même, de quels prodiges ne suis-je point capable désormais ? Si les hommes du camp ont abandonné la drague et les sluices, c’est parce que cette tâche était indigne d’eux, parce qu’ils ont, eux aussi, entendu l’appel, parce qu’ils sont prêts pour la grande route.

— …

— J’irai… Je lui parlerai…