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frayoit le chemin à celle de Cadiasker ou même de Mufti. En vain le grand Viſir, honteux de ſ'être trompé, & ne voulant point revenir de ſon erreur, fit des repréſentations au Sultan.

Ce Livre, depuis ce tems-là, c'eſt-à-dire, depuis environ l'an 1540, eſt regardé par les Savans de l'Empire Ottoman, comme le modèle de la plus parfaite éloquence dont la langue Turque puiſſe être ſuſceptible.