Page:François-Félix Nogaret, L'Arétin François, 1787.djvu/105

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 13 )


ſuis pas le V... d’un ſot ; non, j’ai un feu extraordinaire, tel qu’un vigoureux courſier, je bondis & j’écume en ta préſence.


Le C…

Parle donc plus bas, ma Maîtreſſe vient de ſoupirer.


Le V…

Je la ferois ſoupirer bien autrement de par tous les Diables.


Le C…

Ta vue & tes paroles me brûlent, me ſéchent.


Le V…

Attens, que je te rafraîchiſſe, que je t’humecte un peu.....


Le C…

Ouf !... tu ne pourras jamais.... Haye !... ah ! ah ! ah ! ouf !... arrête... rien qu’à

B