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Adieux à mon wagon
« Rien n’est petit ni vulgaire où le
cœur a passé. »
Ed. Pailleron.
Hermon, novembre.
n écrivain du dix-huitième siècle a
laissé quelques pages touchantes sur
sa vieille robe de chambre qui, après
de longs services, devait, à son grand
chagrin, avoir une remplaçante.
Un poète de notre temps dédia de ses plus beaux vers à sa maison, dont les circonstances l’obligèrent à se séparer.
Enfin l’aimable Tœpfer, l’auteur si connu des Nouvelles genevoises, a écrit un très joli chapitre sur un de ses plus vieux amis : son bâton d’encre de Chine.