Page:Fourier - Théorie analytique de la chaleur, 1822.djvu/341

Cette page a été validée par deux contributeurs.
309
CHAPITRE IV.

265.

Si l’on suppose le temps nul, les valeurs doivent se confondre avec les valeurs initiales On tire de là un nombre d’équations qui doivent servir à déterminer les coëfficients On reconnaîtra facilement que le nombre des inconnues est toujours égal à celui des équations. En effet, le nombre des termes qui entrent dans la valeur de chacune des variables, dépend du nombre des quantités différentes etc., qu’on trouve en divisant la circonférence en un nombre de parties égales. Or, le nombre des quantités etc., est beaucoup moindre que si l’on ne compte que celles qui sont différentes. En désignant le nombre par s’il est impair, et par s’il est pair, désignera toujours le nombre des sinus verses différents. D’un autre côté lorsque dans la suite des quantités