l’une des anachorètes, s’adressant à Sakountalâ, qui vient de s’asseoir. Ma fille, prends le titre de grande reine, pour marquer la grande estime que t’accorde ton époux.
une seconde anachorète. Sois la mère d’un héros !
une troisième anachorète. Sois toujours très estimée de ton époux !
priyamvadâ et anasoûyâ, s’étant approchées. Amie, puisse l’ablution te porter bonheur !
sakountalâ. Vous êtes les bien venues, mes amies ; asseyez-vous là toutes deux.
les deux amies, après avoir pris les vases propitiatoires et s’être assises. Allons ! apprête-toi, tandis que nous allons préparer les onguents qui portent bonheur.
sakountalâ. Voilà un service inappréciable, car, désormais, il me sera difficile d’être parée par mes amies !
les deux amies. Chère amie, il ne faut pas que tu pleures, au moment de la propitiation.