Page:Flaubert - L’Éducation sentimentale éd. Conard.djvu/490

Cette page a été validée par deux contributeurs.

le plus de couvertures possible, pour se faire suer. Il soupirait, il geignait.

— Merci, ma bonne Catherine ! — Baise ton pauvre père, ma poulette ! Ah ! ces révolutions !

Et, comme sa fille le grondait de s’être rendu malade en se tourmentant pour elle, il répliqua :

— Oui ! tu as raison ! Mais c’est plus fort que moi ! Je suis trop sensible !