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CORRESPONDANCE

Quand se verra-t-on ? Est-ce que je ne peux pas compter sur une petite visite à Croisset ? non pas petite, mais une bonne visite. J’ai à vous parler longuement de deux plans.


1099. À PHILIPPE LEPARFAIT.

Entièrement inédite.

Jeudi 4 heures.

Certainement ! mon bon ! Il est très possible de me voir. Je m’étonne même que tu n’aies pas trouvé cette possibilité-là depuis un mois.

Il faut même que je te voie à cause de Claye.

M. Commanville revient ici après-demain (mercredi) et restera à Croisset jusqu’au 1er juin. Je n’irai pas à Paris avant cette époque.

Viens donc mercredi matin par le bateau de 11 heures.

Je t’embrasse.

Ton G. Flaubert.

1100. À GEORGE SAND.
[Croisset, fin mai 1870.]

Non, chère maître ! Je ne suis pas malade, mais j’ai été occupé par mon déménagement de Paris et par ma réinstallation à Croisset. Puis ma mère a été fortement indisposée — elle va bien maintenant ; puis j’ai eu à débrouiller le reste des