Page:Figuier - Les Merveilles de la science, 1867 - 1891, Tome 5.djvu/114

Cette page a été validée par deux contributeurs.

l’industrie. Tout au plus le moteur à gaz, dans quelques conditions spéciales, et alors que la question d’économie est secondaire, vient-il se mesurer avec la machine à vapeur, pour la production de petites forces.

On peut en dire autant de la puissance mécanique de l’air comprimé, et de la pression de hautes colonnes d’eau, utilisées dans quelques grandes villes, pour certains cas particuliers, où il s’agit de distribuer commodément de petits efforts mécaniques. Mais, sauf ces cas isolés et exceptionnels, on peut dire que la machine à vapeur, grâce aux perfectionnements qu’elle a reçus, règne seule aujourd’hui dans les usines, les manufactures, les ateliers, et les bâtiments de tout tonnage, ainsi qu’on va le voir dans les pages suivantes.


fin du supplément aux machines à vapeur.