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SOLIMAN.
Je continue ! Alors, si on n’est qu’un simple gendre de rien du tout… on a des égards pour ce beau-père…
OTTOKAR.
Et si on est un gendre de la haute ?
SOLIMAN.
On n’a pas d’égards, alors, et on dit à ce beau-père : Est-ce que tu ne vas pas nous faire le plaisir de t’en aller ?
OTTOKAR, reculant, puis revenant embrasser Fatime.
Je m’en vais !… Adieu, mon enfant ! mon ange ! ma colombe !…
FATIME.
Encore !
OTTOKAR.
Puisque je suis ton père !
SOLIMAN.
Est-il tendre ce père !… mais est-il assommant aussi !
Scène VII
OTTOKAR, SOLIMAN, FATIME, ACHMED.
ACHMED, entrant vivement.
Ma sœur !…
SOLIMAN.
Allons, bon, le frère maintenant !
ACHMED.
Ah ! ma chère sœur !
Il l’embrasse.