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envers les brahmes et les Dieux, l’aîné des Pândouides se divertit dans son ravissant palais comme Çakra dans celui, du ciel. 103.

Dans ce palais s’assirent les rishis ; dans ce palais s’assirent, avec ces fils de Pândou, les Indras des hommes, venus de plusieurs contrées : 104.

Asita, Dévala, Satya, Sarpamâli, Mahâçiras, Arvâvasou, Soumitra, Maîtréya, Çounaka, Bali, 105.

Baka, Dâlbhya, Sthalouçiras, Krishna-Dwaîpâyana, Çouka, Soumantou, Djaîmini, Palla et nous, les disciples de Vyâsa, 106.

Tittiri et Yâjnavalkya avec le fils de Lomaharshana, Apsouhomya, Dhaâumya, Anlmândaet Vyakaâuçika, 107.

Dâmoshnîça et Traîbali, Parnàda, Varadjanouka, Maâundjâyana, Vâyoubhaksha et Sârika, fils de Parâçara, Balîvâka, Silîvâka, Satyapâla, Kritaçrama, Djâtoûkarna, Çikâvat, Alamba, Pâridjâtaka, 108-109.

L’éminent Parvata et Mârkandéya, le grand anachorète, Pavitrapâni, Sâvarna, Bhâlouki et Gâlava, 110.

Djanghâbandhou, Raîmya, Kopavéga et Brighou, Haribabhrou, fils de Koundinî, Bhabhroumâli et Sanâtana, 111.

Kâkshîvan et Aâuçidja lui-même, Nâtchikétou le Gautamide, Paînga, Varâha, Çounaka et Çândilyaâ la grande pénitence, 112.

Koukkoura, Vénoudjangha, Kâlâpa et Katha, anachorètes aux sens domptés, à l’âme ferme, à la grande science des devoirs. 113.

Ces rishis, les plus vertueux des solitaires, et beaucoup d’autres, justes, purs, sans tache, qui avaient abordé à la rive ultérieure des Védas et des Védângas, s’assirent