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L’amrita, les brahmes, les vaches, les Gandharvas et les Apsaras ainsi que la postérité de Kapilâ sont racontés dans le Pourâna. 2500.

Je viens d’exposer à tes yeux l’origine de tous les êtres ; je t’ai dit également celle des Apsaras et des Gandharvas,

Des serpents, des Souparnas, des Roudras et des Maroutes, et des vaches, et des brahmes fortunés aux œuvres pures ; 2561-2662.

Histoire, qui donne une longue vie, la richesse et la sainteté, qui verse le plaisir aux oreilles, qu’il faut écouter sans cesse et que doit faire entendre l’homme, qui n’a jamais la malédiction sur ses lèvres. 2563.

Quiconque lira dans la compression des sens cette généalogie devant les brahmes, pareils aux Dieux, ne peut manquer d’obtenir en ce monde une postérité nombreuse, la prospérité, la gloire, et dans l’autre vie, le sentier de l’éternelle félicité ! 2564.

Six maharshis, reprit Vaîçampâyana, sont reconnus pour les fils intellectuels de Brahma ; onze de la plus haute splendeur sont dits les fils de Sthânou, c’est-à-dire de Çiva : 2566.

Mrigavyâdha, Sarpa, Nirriti à la vaste renommée, Adjaikapadahi le Boudhnide et Pinâkî, l’immolateur des ennemis, 2566.

Dahana, Içwara et Kapâli à la grande splendeur, Sthânou, Bhaga et l’auguste Roudra, qui est ici nommé le onzième. 2567.

Voici quels furent les fils de Brahma, ces maharshis, pleins de vigueur : Marîtchi, Angoras, Atri, Poulastya, Poulaha et Kratou. 2568.

Angiras eut trois fils, de qui les noms sont partout