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qui s’est fardé lui-même comme de minium dans l’ivresse de sa bataille contre l’éléphant Kouvalayâpida, tué par un jeu de son bras puissant, Mouradjita fait triompher ce bras, qui tient une massue parsemée de gouttes de sang ! 34.




Ici, dans le saint cantique de Govinda, finit le onzième chant, nommé Dâmaudara, comblé de féliciié par sa réunion avec sa bien-aimée Râdhâ.