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deniers pour reste de plus grande somme provenant de fournitures que led. sr Savornin à fait pour lad. confrerie, sur quoy led. Aubier à reconnu que le compte dud. sr Savornin est veritable[1], et promet de luy payer à compte environ dix huit livres qu’il à en main de lad. confrerie ; à compte des fournitures faites en l’année mille sept cents soixante, temps auquel led. Aubier etoit recteur ; led. Savornin à encore presenté deux autres rolles par lesquels il paroit que la confrerie de St Marc luy doit cinq livres treize sols d’un cotté et vingt deux livres dix sols de l’autre lesquels rolles sont joints au present procez verbal ; sur le rolle dud. Savornin concernant la confrerie de Corpus Domini, led. Aubier à declaré qu’il ne le reconnoit qu’aux chefs concernant son administration de lad. confrerie et que pour le surplus n’y prend aucune part comme n’ayant pas eté recteur. Et nous etant fait representer par Jean Honnoré Giraud trezorier de la confrerie de Saint Marc trezorier de la confrerie dud. Saint Marc[2] en l’année mille sept cents cinquante deux son compte de lad. année, avons trouvé que led. Giraud avoit rendu son compte de lad. année à mr l’abbé

  1. Après le mot « veritable » figure un signe de renvoi ( « + » ), repris plus bas dans la page avant les mots « qu’aux chefs ». Il est incohérent et incompréhensible. En effet, pour faire sens, le texte doit être lu tel qu’il est copié au fil de la page, sans tenir compte de ce système. NdÉ.
  2. Sic, répétition. NdÉ.