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lancé sur moi un groom qui m’a gratifié d’une douzaine de coups de canne.
— En vérité, milord ! s’écria la comtesse.
Susannah rougit.
— Comme j’ai l’honneur de l’affirmer à Votre Seigneurie, reprit M. de Lancester… de bons coups de canne, sur ma parole !
— Et qu’avez-vous fait ?
— Je ne suis pas riche, milady, malheureusement… J’ai tiré mon portefeuille, et je n’ai pu donner à ce groom qu’une misérable bank-note de cinq livres.
— Cinq livres pour des coups de canne, monsieur !