Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/278

Cette page a été validée par deux contributeurs.

bles binocles braqués sur la personne de Sa Seigneurie.

Paddy poussa un profond soupir.

— Mon amour, dit-il ; ma chère mistress Burnett, — que diable ! — ne mangeriez-vous pas une orange avec plaisir ?

— En avez-vous, monsieur O’Chrane ?

— Je vais en aller chercher, madam, ou que je sois damné !

Et le capitaine quitta précipitamment sa place, laissant sa compagne stupéfaite d’un empressement aussi inusité.

— C’est une bonne pâte d’homme que ce