Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 02.djvu/143

Cette page a été validée par deux contributeurs.

et large comme un shelling, produite par la pression du pied de Rowley sur la charpie mouillée.

Stephen se jeta vivement sur les genoux pour examiner cette trace. En se baissant, il aperçut sous le lit une fiole microscopique dont il se saisit.

— La voilà ! voilà la fiole ! s’écria le vieux Jack.

Stephen, sans la déboucher, l’approcha de ses narines. Elle contenait de l’acide prussique.