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XLIX

L’ENGRENAGE


Les histoires sont comme les hommes : avant de finir, elles jettent un regard en arrière.

À la première page de ce livre, nous vîmes un vieillard mourant qui représentait la folie de la sagesse humaine. Il descendait des empereurs, il était riche terriblement. Le bien que ce vieil homme aurait pu faire à lui-même et aux autres, nul ne saurait le dire.

Mais l’idée de ce devoir n’était pas en lui, quoi qu’il fût chrétien. Au moment de rendre à Dieu son âme