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XXXVII

TOILETTES DE MYLORD


Vers huit heures et demie du soir, un jeune homme qui portait justement la tête penchée vers l’épaule droite sortit des bois de Fause-Repose, par une des coulées descendant à l’étang de Ville-d’Avray. Il avait les habits en désordre, les cheveux mêlés et le visage noir comme celui d’un charbonnier.

Il gagna l’eau d’un pas tranquille et se lava d’abord le visage et les mains, puis il rentra sous bois pour remettre autant que possible de l’ordre dans sa toilette. Cela il ne fut pas long. Un quart d’heure après, il montait dans le train à destination de Paris.