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XVII

l’épée de penhoël.


Le roman pèche, dit-on, quand il veut se guinder jusqu’aux régions de la haute philosophie ; il pèche plus grièvement encore quand il s’égare le long des sentiers impossibles de la science sociale ou qu’il pérore, monté sur une borne, dans cette grande route de l’économie politique, pavée de lieux communs humanitaires et de sentimentales fadaises.

Pauvre roman ! ne joue-t-il pas auprès du public-roi le rôle de bouffon et d’esclave ? S’il veut enseigner, par hasard, qu’il se fasse bien