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s’arrêter pour lui faire manger la civade, et nous autres pour le mérenda.

À Coulaures, Jardon, notre bordier, nous attendait avec les bœufs, car d’aller avec une jument aussi chargée dans nos chemins, il n’y fallait pas songer. Il fallut donc décharger la plus grande partie des affaires pour les recharger sur la charrette des bœufs ; tout ça prit du temps, en sorte qu’il était neuf heures lorsque nous fûmes au Frau.