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EXPLICATION DES PLANCHES.

Fig. 20. Terrine de grh.

Fig. II et 11 bis. fi esc une tige de fer portant un manche it bots D et un anneau A C de fer : cet anneau sert à couper circulaireroenc le fond des matras de verre pour en faire des capsules. Lorsqu’on veut s’en servir, on le fait rougir, pois on pose dessus le matras Gj comme on le voie figure % bis. Quand le verre est bien chaud , on enlève le matras et on jette quelques gouttes d’eau sur la partie la pfus chaude ; il se fend alors dans cette partie^ Fig. XI. B AD. Cornue de verre. On voit, par la ligne ponctuée C, que la cornue netoit » dans son origine, qu’une bouteille dont on a ensuite courbé le col. Fig. 1). Cucurhite de verre.

Fig. 1 j bis. * La description de cet appareil se trouve tome II , page J 5 1 , colonne u Fig. 14. jippareil de Lavoisier pour réduire Teau en gaz. A est une petite cloche de verre donc Touvenure est retournée en en bas. £lle repose dans un bain de mercure contenu dans une soucoupe B* Elle est remplie de mercure jusqu’en c d ; le reste de sa capacité concienc environ deux gros d’eau. Quand on veut réduire cette eau en gaz , on plonge cet appareil dans un bain £ F G H d’eau saléie , qui repose sur un fourneau I K j quand la température du bain est suffisamment élevée , l’eau contenue dans la cloche augmente de volume , et finit par se réduire en un fluide invisible alors on retire l’appareil du bain , le fluide se condense peu à peu en liquide par le t^froidissemenr. ( ^o>q[ tome II, page ;5 5j colonne l’^) Fig. 14 bu. Cet appareil, dont l’invention appartient à M. Proust, sen a faire la même expérience que le précédent. Il consiste en un tubt : de verre A , fermé par l’extrémité supérieure et ouvert en en bas. Ce cube traverse un bouchon D, qui s’adapte dans le col d’un flacon B. Le&con contient du mercure jusqu’en £ , le tube jusqu’en A. La capacité A contient le liquide qu’on veut vaporiser. Le bouchon D ne doit pas fermer exactement le flacon. Quand on veut faire usage de l’appareil^ on fait* rougir un fer H, dont une extrémité F est tcjrminée par une plaque courbée d’une cenaine épaisseur , et dont l’autre est fixée dans un manche de bois. On approche ensuite l’extrémité F du tube , de manière i ce qu’elle l’embrasse- ; l’eau se réduit bieniôt après en vapeur , qui fait baisfrr le mercure dans le tube.

Fig^ 15. Siphon simple.

SIXIEME CLASSE.

APPAREILS POUR LES DISTILLATIONS SIMPLES ET PNEUMATOwCSIMIQUES , ET LES DISSOLUTIONS MÉTALLIQUES.

PLANCHE QUATORZIÈME.

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Figure 1 . A B G. Cornue simple , avec un ballon simple £ T, Fig^ %. Cornue tubulée.

Fig. ). Ballon tubulé»

Fig. 4, A B C. Cornue dont le bec C est ciré à la bunpe. Fig. $• Ballon à deux pointes.

Fig. 6. Ballon à trois pointes. *

Fig. 7. Ballon i quatre pointes.

Fig. 8. Alonge de verre pour les cornues.

Fig. 9. Idem de métal.

F’ig. 10. Cornue^ alonge et ballon réunis.

Fig» 10 bis. Cuine jointe â son récipient au moyen d’une alpnge de terre.